Photos 2005.

- Pour commencer, une série de vues d'ALGER prises tout au long de la promenade dans le bois des Arcades. Le bois, comme le fort aujourd'hui disparu, ou la villa éponyme, tire son nom de l'aqueduc privé qui alimentait la campagne environnante et la villa. Dominant le jardin d'Essai, nous avons choisi le restaurant photographié pour déguster une première "mousse", fraîche à souhait, devant ce paysage admirable.Dans le bois a été installé un "village des artistes", zone d'artisanat.

Rappel, dans le texte inscrit sur les photos, le "R" après la date signifie que la photo a été prise par Rabih.

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- A la place du fort des Arcades a été édifié en 1982 un mémorial. Une esplanade, enjambant l'avenue du Corps Expéditionnaire, rejoint un vaste centre commercial sur l'emplacement des anciennes cités de recasement du Clos-Salembier; il fut même question, à un moment, de raser Mahçoul "simple confort". La villa des Arcades est très gardée, et pratiquement impossible à photographier. Elle est associée à la mémoire de plusieurs corsaires, d'où son autre nom de villa des pirates.
- La visite de Mahçoul débute par quelques vues de l'ancienne église Saint-Jean-Baptiste, conçue par Pouillon, aujourd'hui transformée en mosquée. Puis promenade au gré des allées, des placettes, des places, en insistant sur la très belle porte de la Mer aux mosaïques à peu près sauvegardées. Nous avons également essayé de faire ressortir toute l'architecture particulière de la cité, sans cesse renouvelée d'un bâtiment à l'autre.

Pour terminer: la plaque du téléphérique; trop intéressé à filmer celui-ci dans ses montées et descentes, je me rends compte aujourd'hui que je ne l'ai pas pris une fois en photo! Et la villa SESINI (rien à voir avec Jean-Jacques SUSINI). Je fus plus heureux en 2004; cette année les policiers de garde refusèrent que je la prenne en photo, sans autorisation du ministère de la culture; alors, de derrière ou au zoom, j'ai essayé de me rattrapper. La villa, grande propriété de style mauresque, abrita au début de la seconde guerre mondiale, le consulat d'Allemagne, puis de 1955 à 1961 le 1er REP.